2021
Bruxelles, Belgique
- Maisons Unifamiliales
- Maison de repos et de soins
- Appartements
Un bâtiment précurseur des seventies réinventé et habillé avec raffinement pour une expérience unique à Bruxelles.
Inscrit à l’inventaire du patrimoine architectural, entièrement déshabillé et repensé tout en préservant ses caractéristiques d’origine, cet appart-hôtel de composition modulaire, est le précurseur des apparts-hôtels de l’avenue Louise. Autrefois sous la dénomination d'Hôtel Mac Donald, puis d'Hôtel Tagawa, il fût conçu en 1965-1966 par les architectes Marcel Lambrichs et Jacques Van de Putte.
The Tagawa s’élève aujourd’hui sur 12 étages de studios douillets et de penthouses triplex aériens. Il occupe une parcelle traversante entre l’avenue Louise 321-325 et le no 164-168 Chaussée de Vleurgat.
Des touches de piano rythmant la façade, un hommage à la haute couture du début des seventies : Un rythme noir et blanc ponctue la façade de ce bâtiment emblématique de l’Avenue Louise.
Les intérieurs et le mobilier de chacun des modules sont, quant à eux, colorés, raffinés, confortables et accueillants.
Cet établissement est un hymne à la joie vous invitant à voyager à la découverte de notre patrimoine contemporain.
The Tagawa c'est une situation exceptionnelle à deux pas de l’Abbaye de la Cambre et des étangs d’Ixelles. Il se compose de soixante-quatre unités d’appart-hôtel spacieux et décorés avec raffinement et sobriété par des designers belges, quatre penthouses somptueux dont deux triplex offrant des vues imprenables sur la prestigieuse Avenue Louise, pour les sportifs : une salle de sport de 1200 m2 sur trois niveaux.
Localisation
Avenue Louise 321-325
1000 Brussels
Surface
9500 m²
Statut
Mixed-use
Maître d’ouvrage
Macan & Europort Belgium
Architecte
Altiplan
Dans les années 70, l'intérieur comprenait une boîte de nuit au sous-sol, un restaurant au rez-de-chaussée, et des flats aux étages. A cette époque, l’égérie des yéyés, un certain Claude-François, y avait élu domicile de villégiature au dernier étage. Des touches de piano rythmant la façade, un hommage à la haute couture du début des seventies : un rythme noir et blanc ponctue la façade de ce bâtiment emblématique de l’Avenue Louise.
A cette époque, l’égérie des yéyés, un certain Claude-François, y avait élu domicile de villégiature au dernier étage.